Pourquoi adhérer ? Pourquoi faire un don ?
L’AFMT est une des rares associations de santé à ne pas accepter le financement des partis politiques, du gouvernement et des laboratoires.
Ce sont les adhérents qui font et financent l’AFMT. Cette indépendance est le gage de notre liberté d’action et de parole.
Depuis ses 21 ans d’existence, l’AFMT s’est battue dans plusieurs
domaines.
En 2001 nous portions plainte avec 700 plaignants contre le mensonge
de l’Etat concernant l’impact de Tchernobyl en France. Ceci a permis
de détenir le secret d’instruction et d’en faire une bande dessinée très
caustique sur les responsables de l’époque. La France voulait rassurer la population sur sa production agricole et l’industrie nucléaire… Le paradoxe est qu’ainsi, elle a admis la circulation de productions jugées non consommables dans d’autres pays d’ Europe… Ils savaient et ne nous ont pas protégés !
En 1980, 200.000 malades étaient sous hormones de substitution. Aujourd’hui plus de 3 millions ! La faute à pas de chance ? Demain, dans 20 ans combien seront nous ?
Nous vivons dans un environnement de plus en plus toxique. Faut-il se battre pour survivre dans ce contexte et faire avec ?
Ou au contraire laisser toutes les chances à nos enfants et aux générations à venir d’un environnement plus sain ?
Il y a 15 ans, l’AFMT est intervenue auprès de l’INSERM, avec le Dr Jacques Guillet, afin que les biberons ne contiennent plus de phtalates, gros perturbateurs endocriniens.
Nous nous sommes battus pour les malades cancéreux : remboursement du Thyrogen et Tep-scan pour lequel nous avons occupé l’hôpital Purpan à Toulouse. 6 mois plus tard, la machine était en place et Jacques Chirac, qui portait le Plan cancer, accélérait les installations partout ailleurs.
Et puis l’affaire Levothyrox :
C’est l’AFMT qui a été lanceuse d’alerte, qui a secoué et secoue encore le ministère.
L’AFMT s’est engagée dans une démarche scientifique. Elle a voulu comprendre pourquoi certains malades ont souffert et pas les autres… Elle a mis en évidence les limites de la bioéquivalence pour ce médicament, confirmées depuis par une publication internationale.
Elle a réuni près de 2000 plaignants. Et lancé un appel, avec le soutien des collectifs, pour que les malades lui confient les boîtes de médicament qu’ils incriminaient.
Ce bel élan citoyen, a permis l’étude statistique pour orienter les travaux de Recherche sur les lots les plus impactants.
Les résultats bruts de quatre laboratoires concordent : mêmes graphiques troublants sur les mêmes lots. Le CNRS en reconnaît la validité, mais s’estime non missionné pour aller au-delà. Car l’affaire gêne. Les responsables se réfugient derrière le mot artéfact, sorte d’erreur humaine introduite lors des analyses. Le mot fait très « savant ». Mais tant qu’il n’est ni caractérisé, ni identifié, il est vide de sens.
Les points de vue d’autres structures de Recherche, notamment de celles qui ont travaillé et qui travaillent encore le sujet, certaines reconnues par la FDA, seront donc très utiles. Ils permettront d’améliorer le traitement des malades.
Nous irons jusqu’au bout dans cette douloureuse affaire comme dans la défense de l’avenir des générations futures.
Là aussi c’est l’AFMT qui au travers de ses adhérents et avec le soutien de nombreux scientifiques, finance ces investigations.
Elles sont plus que jamais nécessaires à l’heure où l’on sait que la Chine et l’Inde, fournissent les composants de 60 à 80 % des médicaments.
Nous avons des permanences tenues par des bénévoles, les responsables travaillent sur leur matériel personnel. La pénurie de médecins augmente les besoins.
Et cette année, nous avons embauché une secrétaire comptable. La demande auprès des malades étant colossale.
Nous soutenir c’est aussi un geste citoyen dans votre propre vie.
Notre association a été reconnue utilité générale et de ce fait vous bénéficierez d’un avoir fiscal de 66% sur la somme versée pour votre adhésion.
L’adhésion à l’AFMT est de 30 euros et pour nous ce geste est
énorme
Merci de votre soutien