le « syndrome » du lévothyrox appelé aussi  » Anny Duperey » n’en n’était pas un !

Video de la conférence de presse

Crise du Lévothyrox : Pour en trouver les causes encore fallait-il les rechercher. C’est de que nous avons fait et continuons à faire face à tous ceux qui refusaient de croire à la réalité de la parole des victimes, et prétendaient qu’il ne s’agissait que d’un simple « effet« Nocebo », l’AFMT a, dès le début, mené l’enquête avec quelques laboratoires en Amérique d’abord puis en France On a cherché dans diverses directions (nanoparticules, métaux ,impuretés diverses,…) Le coût de ces investigations était déjà très élevé pour une Association ne vivant que des cotisations de ses adhérents. Les malades des quatre coins de la France (de l’AFMT et des collectifs)nous ont énormément aidés en nous envoyant plus de 1000 boites qu’ils avaient conservées.

Dans le même temps l’AFMT a saisi, scanné et classé plus de 2000 dossiers de plain es et de dossiers médicaux Nous avons repéré les« numéros des lots » de comprimés ant entrainé les cas les plus significatifs (décès, hospitalisation, arrêt de travail…)Certains numéros sont revenus en boucle jusqu’à 29 fois !!!

Parprécaution nous nous sommes assurés que les comprimés examinés dansla première analyse ne soient pas « périmés » et qu’ils faisaient bienpartie des même lots que ceux que la Juge avait saisis lors de saperquisition chez Merck en octobre 2017!….Néanmoins les laboratoires privés d’analyses Français et européens quenous avions contactés n’ont pas accepté de continuer ces études pour nepas risquer de déplaire à « Big Pharma » (leurs principaux « clients

Il a donc fallu obtenir l’aide de scientifiques universitaires
internationaux, intéressés par les premiers résultats menés à Toulouse
par un chercheur du CNRS, pour mener à bien la suite de ces travaux de
façon totalement indépendante (et donc non rétribués par l’association
afin d’éviter toute suspicion de « lien d’intérêt »).
Nous ne serons jamais assez reconnaissants vis à vis de ces scientifiques
qui ont répondus « présents », fidèles à l’esprit des lumières 
La vidéo ci-jointe montre la conférence de presse avec des journalistes
toulousains.
La crise du Lévothyrox a démarré en 2017 (7 ans déjà…) c’est long ,
trop long, mais la publication de cette étude scientifique marque une
avancée majeure dans la compréhension de ses causes.
Soyez confiants : Avec votre aide (et vos cotisations !!!), à la poursuite
des recherches des scientifiques et à l’action déterminée de l’AFMT
(« votre »  Association) nous sommes convaincus que nous réussirons à
faire toute la lumière sur une crise sanitaire encore inexpliquée dont
vous avez été si nombreux à être les victimes.

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