Le 5 octobre, un énorme mouvement citoyen est né :
Le 5 octobre un énorme mouvement citoyen est né :
Face à l’interdiction du CNRS de la conférence de presse prévue le 5 octobre au matin à l’université Paul Sabatier de Toulouse, un énorme élan de colère et de soutien est né.
Le chercheur qui a investigué des semaines entières sur les cachets de lévothyroxine, s’est vu blâmé par le CNRS dans son travail au prétexte que la convention de l’AFMT avec son laboratoire n’était pas finalisée.
Nous attendions de ces analyses des explications sur cette crise du Lévothyrox.
Le CNRS laissant une porte ouverte néanmoins sur la continuation des analyses par d’autres chercheurs, l’AFMT accepte cette proposition. Nous souhaitons que Mr JC.GARRIGUES accompagne, sur les données acquises, ces nouvelles analyses.
L’AFMT s’est retrouvée à Béziers avec deux collectifs de victimes du nouveau Lévothyrox (l’union des papillons et les Victimes du nouveau Lévothyrox Occitanie) afin de soutenir une association « Union Pour la Gestion des Crises Sanitaires ».
Dans cette crise sanitaire du Levothyrox, l’union de la société civile est en marche !
Il a été décidé d’un serment commun, de ne jamais accepter un euro des laboratoires pharmaceutiques, de se soutenir en cas de crise tout en respectant la liberté et l’indépendance de chacun.
Il est clair qu’en voyant un chercheur de ce niveau-là, se faire accabler lourdement, cela pose des questions essentielles sur notre démocratie sanitaire. L’Etat aurait mieux fait de se préoccuper de ses études et de ses conséquences au lieu de le discréditer.
D’autres collectifs ont accepté de se joindre à nous dans cette épreuve qui montrera aux autorités publiques notre ténacité pour mener jusqu’au bout nos demandes de clarté scientifique.
Ce mouvement est né par le courage de milliers de femmes et d’hommes qui ont osé braver le dictat d’un monde médical et administratif bien-pensant soumis à l’intérêt des laboratoires.
Quoi de pire de ressentir sa chair meurtrie sans être entendu. Nous n’aurions pas été en nombre, l’affaire se terminait sous antidépresseurs et antalgiques.
Ce sont nos enfants que nous défendons aujourd’hui, l’affaire du Levothyrox doit faire réfléchir sur la façon dont est assurée la sécurité sanitaire.
Aujourd’hui nous avons compris que tout dépend de nous tous et nos soutiens !
Que l’on agrandisse le « choix » par le remboursement du Tcaps dont de nombreux malades sont satisfaits.
Que l’État se responsabilise en menant une investigation sur la provenance de la lévothyroxine elle-même car si elle est vendue à MERCK, quels sont les autres laboratoires qui l’achètent ? Puisque nous commençons, hélas à avoir des retours négatifs sur d’autres produits…
Alors soyons forts, une action collective est prévue sur Paris dans les semaines à venir.
Soyons unis face à toutes les difficultés : la société civile doit résister face à l’influence des lobbies qui pèsent sur les administrations d’Etat, qui devraient privilégier l’intérêt des patients plutôt que l’intérêt de firmes.
AFMT https://www.asso-malades-thyroide.fr/ ecrire à asso.thyroide@gmail.com
VNLO – Cinéma Le Régent – 16 rue de l’Indépendance 31 800 St Gaudens
mail : victimesnouveaulevothyrox@gmail.com
UPGS : https://www.upgcs.org/ Et le numéro de téléphone 06 81 24 20 27
VNL 81 : Martine Madaule 53 rue Henri Simon 81100 Castres Mail : pierrot.madaule@orange.fr
Stéphanie Krouk-monroy 12 chemin de la source 81500Saint lieux les lavaur Mail: precioza@hotmail.fr
Collectif Levothyrox 64 f.battault@gmail.com
collectif AGIR THYROIDE facebook mestaoui_monia@yahoo.fr