L’Inserm milite pour les 11 vaccins obligatoires ? Son PDG est le mari de Buzyn, Ministre de la Santé

 

 

 

 

 

Agnès Buzyn a tranché en faveur de l'Inserm.

Agnès Buzyn a tranché en faveur de l’Inserm. – Julien Mattia / NurPhoto
Transparence

Conflit d’intérêts : cette décision de la ministre Agnès Buzyn qui a bien fait les affaires de son mari

La ministre de la Santé, Agnès Buzyn, a pris le 2 octobre une décision concernant les instituts hospitalo-universitaires qui arrange son conjoint Yves Lévy, directeur de l’Inserm. De quoi alimenter des soupçons de conflit d’intérêts.

La promesse paraissait (quasi) intenable. La ministre ne l’a pas tenue. Rappelez-vous : Agnès Buzyn, titulaire du portefeuille de la Santé, a certifié, au moment de sa nomination, qu’elle se déporterait de tout dossier concernant l’Institut national et de la recherche médicale (Inserm), dirigé par son conjoint, Yves Lévy. Le 29 mai dernier un décret, co-signé par Edouard Philippe et par Agnès Buzyn, est même venu consacrer cette situation, censée éviter tout conflit d’intérêts au sommet de la chaîne médicale. « La ministre des solidarités et de la santé ne connaît pas des actes de toute nature relatifs à l’Institut national de la santé et de la recherche médicale. (…) les attributions correspondantes sont exercées par le Premier ministre« , dispose le texte. Une ministre de la Santé qui évite de s’occuper du principal organe de recherche médicale en France, cela promettait quelques casse-têtes administratifs. En réalité, cette belle idée s’est vite fracassée sur la réalité pratique.

Tout est parti d’une décision interministérielle en apparence anodine. Le 2 octobre dernier, Agnès Buzyn et Frédérique Vidal, la ministre de l’Enseignement supérieur, ont annoncé le report d’un appel à projets pour créer de nouveaux instituts hospitalo-universitaires (IHU), en précisant que ceux-ci devront « proposer une gouvernance sans fondation support ». Or, cette demande administrative obscure paraît s’inscrire dans une lutte d’influence à laquelle l’Inserm est partie prenante. Les deux ministres ont tout simplement fait droit à une demande… d’Yves Lévy, mari d’une des deux signataires.

Le statut des IHU au coeur du problème

Les IHU ont été créés en 2010, sous Nicolas Sarkozy et sur conseil de Jacques Attali, Alain Juppé et Michel Rocard , afin de stimuler la recherche médicale, alors moribonde en France. L’objectif était de créer des centres de recherche de haut niveau échappant aux pesanteurs des structures existantes. Pour ce faire, ils bénéficient depuis leur création du statut de « fondation » indépendante. Celui-là même qui est justement remis en cause par la décision ministérielle pour les nouveaux IHU. Ce statut constitue pourtant une grande chance pour Didier Raoult, le patron de l’IHU de Marseille, interrogé par Marianne : « Les IHU sont une réussite internationalement reconnue, avant tout car nous avons une souplesse de fonctionnement. Quand nous avons besoin d’un chercheur dans un domaine précis, nous pouvons le recruter rapidement. C’est très précieux. »

Or, ce statut est discuté depuis plusieurs années en ce qu’il pose des questions sur la viabilité du modèle économique et les liens avec les institutions partenaires de l’IHU. Yves Levy est un des plus fervents contempteurs du modèle « fondation ». Dans son édition de ce mercredi 11 octobre, Le Canard enchaîné révèle que le patron de l’Inserm a envoyé le 9 septembre une note aux équipes candidates, dans laquelle il prône le remplacement du statut de fondation par un simple « contrat ». Celui-ci pourrait notamment prendre la forme d’un groupement d’intérêt public. La différence entre les deux statuts ? Le statut de fondation permet aux IHU de prendre des décisions rapidement, après consultation de leur conseil d’administration. Dans les groupements d’intérêt public (GIP), chaque institution partenaire dispose d’un droit de regard sur les décisions de l’IHU. Or, l’Inserm est partenaire et membre fondateur de cinq des six premiers IHU.

 

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Dans ceux-ci, l’Institut met à disposition ses chercheurs, certains de ses laboratoires, et participe aux conseils d’administration. Sans avoir de droit de veto. Il y a aussi un enjeu en terme de brevets. Les IHU ne pouvant être en déficit, les brevets qu’ils déposent et vendent à des grandes entreprises participent à leur modèle économique. Au sein d’un GIP, la répartition de la manne devra être renégociée, devenant potentiellement plus favorable à une institution comme l’Inserm.

« Un enjeu d’autorité pour Yves Lévy »

Plusieurs connaisseurs du dossier voient en outre dans cette bataille en milieu stérile un pur enjeu de pouvoir interne. Didier Raoult estime ainsi auprès de Marianneque le patron de l’Inserm vise surtout à asseoir son autorité.« Les IHU sont un enjeu d’autorité et de territoire pour Yves Lévy. Il voudrait les diriger depuis Paris », maugrée-t-il. « Yves Lévy a toujours voulu la peau des IHU, c’est un enjeu de pouvoir », a raillé un ancien ministre auprès du Canard.

Le 6 octobre, le président du jury international pour les nouveaux IHU a lui démissionné de son poste… en tenant peu ou prou le même discours. Le professeur suisse Richard Frackowiack, ponte de la neurologie, a fait part de son désappointement à l’APM, une agence de presse spécialisée dans l’information santé : « Je suis forcé de démissionner. L’indépendance du jury est rejetée, la gouvernance sur la base d’une fondation est rejetée, [ainsi que] les compromis qui essaient d’être constructifs. »

L’agence rapporte encore que « ce mode de gouvernance permettait une bonne coordination entre les différents acteurs de la recherche impliqués dans les projets, et autorisait la bonne autonomie de ces projets », selon le professeur. Lui aussi voit la main d’Yves Lévy derrière cette décision : « Cette autonomie était vue d’un mauvais œil par le directeur de l’Inserm », a-t-il confié à l’APM. Autrement dit, en imposant une gouvernance « sans fondation support », les ministres de la Santé et de l’Enseignement supérieur ont pris une décision qui arrange bien le mari de la première, Agnès Buzyn.

Position intenable

Interrogé par le Canard, le cabinet d’Agnès Buzyn réfute tout conflit d’intérêts, arguant que cette décision ne concernait pas directement l’Inserm : « Le dossier des IHU est plus large que celui de l’Inserm, et la ministre de la Santé était forcément impliquée ». Ce raisonnement, juste par ailleurs, montre toute la difficulté pour la ministre de concilier ses liens privés et son activité gouvernementale. Si le dossier des IHU ne concerne pas au premier chef l’Inserm, force est de constater que l’Institut présidé par Yves Lévy avait tout à la fois un intérêt dans l’affaire et une position bien tranchée sur le sujet. A laquelle se sont rangée les deux ministres…

L’entourage d’Agnès Buzyn fait également observer que ce n’est pas la ministre qui a repris la position de l’Inserm : « La décision a été prise en interministérielle et c’est Matignon qui a porté la position de l’Inserm ». Le hic, c’est que la décision n’a finalement pas été signée par Matignon mais bien par la ministre… Un proche du dossier estime par ailleurs que si Agnès Buzyn n’a pas pesé elle-même dans cet arbitrage, le seul fait qu’Yves Lévy soit le mari de la ministre a renforcé son poids dans la négociation. « Si ça, ce n’est pas du conflit d’intérêts, il ne peut jamais y avoir de conflit d’intérêts », peste cette source. Le genre de soupçon qu’aucun décret ne pourra éteindre. A tort ou à raison.

 

 

 

 

21 Jan 2018MassiliaMacronRépublique et laïcité


L’Inserm milite pour les 11 vaccins obligatoires ? Son PDG est le mari de Buzyn, Ministre de la Santé

Vous avez dit délit d’initiés ou plus exactement conflit d’intérêts ? Mais cela ne change pas grand-chose au scandale, soigneusement tu par les medias officiels.

 

Depuis le 1er janvier 2018, le passage de 3 à 11 vaccins obligatoires pour tous les nouveau-nés de France est effectif

Les protestations des Français sont toujours aussi vives. Et le gouvernement continue de les ignorer façon dictature.

Depuis juin dernier, le gouvernement mène d’intenses campagnes de propagande par l’intermédiaire des médias. Mais ça ne trompe plus personne… Les Français voient bien leurs manœuvres.

La différence ici, c’est qu’ils s’en prennent à nos enfants. Et ça, c’est lâche !

Plutôt que de débattre, ou de conduire des études sérieuses, le ministre de la santé Agnès Buzyn continue d’accabler les opposants à l’obligation vaccinale.

Tout ça avec la bénédiction d’Emmanuel Macron…

 

Le dernier coup bas vient de l’INSERM (Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale), qui vient de publier une « note de synthèse [1] » au sujet des 11 vaccins obligatoires.

Devinez qui est le directeur de l’INSERM ? – (vous allez rire…)

L’Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM) est une institution publique placée sous la tutelle des ministères de la Santé et de l’Enseignement supérieur.

Le président directeur général de l’INSERM n’est autre qu’Yves Lévy, médecin immunologiste et (accessoirement) mari d’Agnès Buzyn, Ministre de la Santé [2].

 

Je ne m’étendrai pas davantage sur ce conflit d’intérêt flagrant parce que l’arnaque est déjà connue, et que les époux Lévy-Buzyn n’en sont pas à leur coup d’essai.

Pendant ce temps, les médias évoquent sans rougir « l’indépendance de l’INSERM » [3] pour donner du crédit à cette note de synthèse censée faire taire les opposants à l’obligation vaccinale. De qui se moque-t-on ?

Comment ils ont détruit la réputation que l’INSERM se forgeait depuis 1964 !

Le premier argument avancé par l’INSERM pour défendre les 11 vaccins est celui de l’efficacité :

Ils protègeraient les enfants contre la maladie à 90%…

Cela laisse (au moins) 10% de risques, pour une pratique qui n’est pas anodine !

Rien de neuf ici : cet argument a déjà été avancé et réfuté [4].

L’INSERM reconnaît que « des effets indésirables mineurs sont communs à tous les vaccins injectables ».

Il est question de douleurs musculaires ou articulaires, de fièvre, de rougeurs et de gonflements… ainsi que des cas d’allergies graves et imprévisibles qui nécessitent un traitement d’urgence.

Au passage, les « experts indépendants » (hum…) de l’INSERM réaffirment qu’il n’existe aucun lien entre l’autisme et le vaccin contre la rougeole.

Leur preuve n’a rien de scientifique, dans la mesure où aucune étude sérieuse n’a été conduite pour vérifier l’innocence du vaccin. C’est l’absence de lien avéré qui sert d’argument, ce qui ne constitue en rien une preuve !

 

Les médias s’empressent de souligner que l’auteur de l’étude qui suggérait un lien entre autisme et vaccin contre la rougeole a été radié de l’ordre des médecins britanniques et son article rétracté…

On ne saura pas s’il s’agissait d’une fraude scientifique, ou d’une découverte qui dérangeait des intérêts trop puissants ?

Les mêmes conclusions hâtives sont tirées concernant le lien entre sclérose en plaques et vaccination contre l’hépatite B. Bien sûr, personne ne donne aucun détail sur les études qui permettraient d’« éliminer tout lien » de causalité entre vaccination et sclérose en plaques. On n’en saura pas plus.

 

L’aluminium, un adjuvant « inoffensif » ?

L’INSERM n’hésite pas à se discréditer pour protéger le projet gouvernemental.

Dans leur note, les chercheurs de l’Institut affirment sans ciller que l’aluminium utilisé dans les vaccins pour irriter le système immunitaire et augmenter la production d’anticorps – est TOTALEMENT INOFFENSIF.

Si nos défenses immunitaires lancent une contre-offensive dès qu’elles détectent de l’aluminium… comment l’INSERM peut-il déclarer l’aluminium inoffensif ?

Là encore, on est loin du raisonnement scientifique…

L’INSERM spécule sur les statistiques : depuis 90 ans que nous utilisons des vaccins, les adjuvants ne se sont pas révélés toxiques.

Comment peuvent-ils en être sûrs puisque les médecins ne rapportent presque jamais les effets indésirables liés aux vaccins ?

D’autant qu’on a tout de même recensé des cas de troubles musculaires ou cognitifs attribués à l’aluminium des vaccins, et cela suffit à l’INSERM pour décréter que l’aluminium en soi n’est pas dangereux.

Cette mauvaise foi scientifique est grave. L’injection de métaux lourds dans l’organisme encore fragile des nourrissons va devenir une norme, sous prétexte que « dans l’ensemble, ça marche ».

Mais cela marchera-t-il toujours quand 11 doses de vaccins chargés d’aluminium seront injectées à votre enfant, au lieu de 3 ?

Seriez-vous prêts à parier sur la santé de vos enfants parce que les médecins rapportent peu de complications ?

Comme l’ont montré les grands scandales sanitaires français : Médiator, Vioxx, Levothyrox, Lyme, statines…, le système français de pharmaco-vigilance est complètement défaillant.

Ces affirmations sont d’autant plus dangereuses qu’un groupe de chercheurs français, dont le travail repose sur de vraies études, a récemment conclu à la dangerosité de l’aluminium vaccinal, même en petites doses.

Cela n’intéresse sûrement pas l’INSERM. Tout ce qui compte, c’est d’écraser les « arguments catastrophistes des lobbys anti-vaccins ».

Ce qui devrait être un débat scientifique éclairé par des preuves devient un procès politique où la médecine n’a plus de valeur, où seules comptent les statistiques.

L’obligation vaccinale, une exception française

L’INSERM regrette que la France soit un des pays au monde où la défiance vaccinale est la plus forte… Mais il oublie de préciser qu’il s’agit aussi d’un des rares où la vaccination est obligatoire !

Il est donc normal que nous en parlions plus que dans les pays où il n’y a pas d’obligation vaccinale !

  • Royaume-Uni , Irlande,
  • Allemagne
  • Autriche
  • Pays-Bas
  • Suède
  • Danemark
  • Norvège
  • Finlande
  • Islande
  • Lituanie
  • Lettonie
  • Estonie
  • Suisse
  • Luxembourg
  • Espagne
  • Portugal
  • Chypre

Ces pays sont-ils pauvres, sous-développés ? Ces pays sont-ils privés d’accès aux recherches médicales de pointe ? Les populations de ces pays sont-elles en mauvaise santé ? Absolument pas.

Ce sont des populations riches et développées, comme la nôtre. Ces pays ont pourtant décidé de ne pas rendre les vaccins obligatoires car la liberté est une valeur cardinale de nos régimes politiques, à plus forte raison quand il s’agit de protéger ses enfants.

Et pourtant, l’INSERM s’obstine, et décrète que l’obligation vaccinale est la seule chance pour la France d’éviter les épidémies.

Avez-vous entendu parler d’épidémies récentes en Irlande, en Allemagne ou en Suède ? Moi non plus.

Une injonction à rentrer dans le rang

L’INSERM transforme une question citoyenne en un débat politique. Il schématise la pensée de ceux qui critiquent l’obligation vaccinale : ce n’est pas qu’une question de « pro » et d’« anti » ! Vous pouvez faire vacciner vos enfants et être contre l’obligation.

C’est le caractère obligatoire des vaccins, et pas le principe de vaccination en lui-même qui suscite le plus de débats.

Mais ça n’a pas d’importance pour l’INSERM, trop occupé à relayer la propagande du gouvernement. Leur note de synthèse n’apporte rien de neuf au débat. Il ne s’agit pas d’un effort pédagogique, ni d’une contribution scientifique à la discussion… C’est une injonction à rentrer dans le rang !

La résistance s’organise

Face à un tel mépris des pouvoirs publics, qui n’hésitent plus à donner dans l’arnaque intellectuelle ou à multiplier les conflits d’intérêts, la voie de la désobéissance est notre seule alternative.

Malheureusement, les parents dissidents s’exposent à des poursuites judiciaires, et les enfants non-vaccinés se verront refuser l’accès aux crèches (entre autres) !

C’est pourquoi, que vous soyez parent ou non, je vous invite à signer notre grande pétition pour montrer à cette élite corrompue combien nous sommes face à eux.

Faites-leur comprendre que les Français ont la tête dure, et qu’ils ne laisseront pas leurs enfants se faire empoisonner sur ordonnance !

Bien à vous,

Eric Müller

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[1] Actualités – INSERM

[2] Comment Matignon tente de sortir la ministre Agnès Buzyn d’un embarrassant conflit d’intérêts, Étienne Girard – 19/10/2017

[3]11 vaccinations obligatoires : l’INSERM s’engage pour la transparence scientifique, Dr. Philippe Montereau, 18/12/2017

[4] Vaccins. L’Inserm assure qu’ils sont efficaces et sûrs pour les enfants

[5] Aluminium dans les vaccins: Les conclusions de chercheurs français dévoilées

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Source : Santé, Nature, Innovation. SNI

 

 

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